dimanche 27 mars 2011
Encore deux jours de froid!
J'ai hâte de me réchauffer. Le vent me gèle encore le bout du nez quand je prends des marches avec ma Brooklyn....
mardi 22 mars 2011
samedi 19 mars 2011
Samedi ensoleillé
Quelle belle journée qui s'annonce! Le soleil, la lumière, les outardes que j'entends revenir du Sud... Ça sent le printemps, malgré le centimètre de neige qui couvre mon auto dans l'entrée. Le café bien chaud et la doudou sur les jambes, que vouloir de plus pour un samedi matin de mars?
Je me sens privilégiée. J'ai souvent cette phrase qui me revient en tête et que je dis souvent à haute voix aussi : la vie est tellement bonne pour moi! Je souris en écrivant cela. Ça fait un peu preacher!!! Ce n’est pas exactement ça dans les faits. S'il y a quelqu'un qui n'est pas adepte de religion, c'est moi. Je suis trop indépendante de la pensée pour me sentir confortable, encadrée dans une religion et ses dictats.
Ce que je veux dire par '' La vie est tellement bonne pour moi'' ça revient à ce qui suit. Bien que je n'ai pas connu de drames atroces à ce jour dans ma vie, j'ai tout de même vécu mon lot d'événements difficiles : peine d'amour, pertes d'êtres chers, pertes d'emploi; la maladie, les miennes et celles qui ont touché mes proches. Rien de grandiose vous me direz, mais tout de même, des bouts de vie qui ont été moins rose que d'autres. Et, comme la plupart, je me suis longtemps acharnée à vouloir comprendre le pourquoi de la vie... et de la mort. J'avais tellement besoin de comprendre...
Avec le temps, et l'expérience consciente de la vie, j'ai compris la chose la plus importante. C'est qu'en général, il ne sert à rien d'essayer de comprendre ce que la vie met sur notre passage. Il faut d'abord l'accepter. Plus facile à dire qu'à faire? Certainement! Mais si on développe sa confiance à la vie, on se rendra souvent compte qu'elle avait vu plus loin que le bout de notre nez. Combien de fois il m'est arrivé de comprendre six mois, un an plus tard pourquoi un événement s'était produit dans ma vie? À toutes les fois... et avec le temps, ce que j'ai compris aussi, c'est que le plus rapidement j'acceptais ce qui se produisait, le plus rapidement ma vie changeait pour le mieux! À CHAQUE FOIS!
Mais parfois aussi, un événement survient et peu importe le temps qui passe, on n'y comprendra jamais rien... C'est certainement la chose la plus difficile à recevoir de la vie. Accepter sans comprendre, se relever, poursuivre sa route, retrouver sa foi dans la vie, c'est tout un défi. Mais ce défi, une fois relevé, nous trouvera grandis, c'est indéniable.
Quand j'écris mon billet, c'est à mes enfants, à leurs amis, à mes neveux et ma nièce que je pense. Ces jeunes adultes qui veulent foncer et embrasser la vie et qui forcément rencontrent une foule d'embuches, d'épreuves nécessaires à leur cheminement. Je suis spécialement inspirée par une superbe belle jeune femme que je me plais à croire qu'elle est ma deuxième fille. Elle a reçu un coup de massue de la part de la vie dernièrement et n'y comprend pas grand-chose actuellement... J'avoue qu'à sa place, je la trouverais dure aussi la vie...
Pour mes peines, ma mère me disait toujours : Demain chouchoune, demain je te le promets, ça va faire un peu moins mal... et elle avait raison. Même les peines que je croyais impossibles à surmonter ont fini par s'estomper...puis disparaître complètement pour faire place à nouveau au bonheur.
Pour toi, Bella, je dis : Demain chouchoune, demain je te le promets, ça va faire un peu moins mal...
Je me sens privilégiée. J'ai souvent cette phrase qui me revient en tête et que je dis souvent à haute voix aussi : la vie est tellement bonne pour moi! Je souris en écrivant cela. Ça fait un peu preacher!!! Ce n’est pas exactement ça dans les faits. S'il y a quelqu'un qui n'est pas adepte de religion, c'est moi. Je suis trop indépendante de la pensée pour me sentir confortable, encadrée dans une religion et ses dictats.
Ce que je veux dire par '' La vie est tellement bonne pour moi'' ça revient à ce qui suit. Bien que je n'ai pas connu de drames atroces à ce jour dans ma vie, j'ai tout de même vécu mon lot d'événements difficiles : peine d'amour, pertes d'êtres chers, pertes d'emploi; la maladie, les miennes et celles qui ont touché mes proches. Rien de grandiose vous me direz, mais tout de même, des bouts de vie qui ont été moins rose que d'autres. Et, comme la plupart, je me suis longtemps acharnée à vouloir comprendre le pourquoi de la vie... et de la mort. J'avais tellement besoin de comprendre...
Avec le temps, et l'expérience consciente de la vie, j'ai compris la chose la plus importante. C'est qu'en général, il ne sert à rien d'essayer de comprendre ce que la vie met sur notre passage. Il faut d'abord l'accepter. Plus facile à dire qu'à faire? Certainement! Mais si on développe sa confiance à la vie, on se rendra souvent compte qu'elle avait vu plus loin que le bout de notre nez. Combien de fois il m'est arrivé de comprendre six mois, un an plus tard pourquoi un événement s'était produit dans ma vie? À toutes les fois... et avec le temps, ce que j'ai compris aussi, c'est que le plus rapidement j'acceptais ce qui se produisait, le plus rapidement ma vie changeait pour le mieux! À CHAQUE FOIS!
Mais parfois aussi, un événement survient et peu importe le temps qui passe, on n'y comprendra jamais rien... C'est certainement la chose la plus difficile à recevoir de la vie. Accepter sans comprendre, se relever, poursuivre sa route, retrouver sa foi dans la vie, c'est tout un défi. Mais ce défi, une fois relevé, nous trouvera grandis, c'est indéniable.
Quand j'écris mon billet, c'est à mes enfants, à leurs amis, à mes neveux et ma nièce que je pense. Ces jeunes adultes qui veulent foncer et embrasser la vie et qui forcément rencontrent une foule d'embuches, d'épreuves nécessaires à leur cheminement. Je suis spécialement inspirée par une superbe belle jeune femme que je me plais à croire qu'elle est ma deuxième fille. Elle a reçu un coup de massue de la part de la vie dernièrement et n'y comprend pas grand-chose actuellement... J'avoue qu'à sa place, je la trouverais dure aussi la vie...
Pour mes peines, ma mère me disait toujours : Demain chouchoune, demain je te le promets, ça va faire un peu moins mal... et elle avait raison. Même les peines que je croyais impossibles à surmonter ont fini par s'estomper...puis disparaître complètement pour faire place à nouveau au bonheur.
Pour toi, Bella, je dis : Demain chouchoune, demain je te le promets, ça va faire un peu moins mal...
lundi 14 mars 2011
Woohoo!
C'est aujourd'hui que 3000ème visite sur mon blogue...
C'est quand même pas rien pour quelqu'un qui blogue pour bloguer!!!
Merci à tous pour vos visites répétées!
Au plaisir!
C'est quand même pas rien pour quelqu'un qui blogue pour bloguer!!!
Merci à tous pour vos visites répétées!
Au plaisir!
dimanche 13 mars 2011
Gros débat personnel!
Rester au lit et poursuivre ma farniente... Ou me décoller les fesses du lit et aller jouer au squash. Pas facile comme décision... mais le squash va gagner. C'est toujours comme ça... Je traîne les pieds, mais je suis toujours contente une fois sur place.
Mon dos risuqe de se plaindre unpeu. Ses courbatures se font nombreuses ce matin... :) on a beau se dire qu'on a 20 ans dans sa tête, le corps a le droit de dire autrement!
Alors je regarde bêtement le temps qui avance et déguste mon café, bien calée dans mes couvertes, mes dernnières gorgées de café. Dans 50 minutes, je serai à frapper la balle à toute allure.
Go TaLou Go!
Mon dos risuqe de se plaindre unpeu. Ses courbatures se font nombreuses ce matin... :) on a beau se dire qu'on a 20 ans dans sa tête, le corps a le droit de dire autrement!
Alors je regarde bêtement le temps qui avance et déguste mon café, bien calée dans mes couvertes, mes dernnières gorgées de café. Dans 50 minutes, je serai à frapper la balle à toute allure.
Go TaLou Go!
samedi 12 mars 2011
Vivre
Journée douce. Nécessaire. Toujours.
Arrêter de courir, de revendiquer, de s'inquiéter.
Aimer tout court. Aimer l'amour, tout le jour.
Ici sans être ailleurs. Maintenant, sans avoir peur.
Le coeur qui gonfle. Gonfle le bonheur.
20 ans. Encore. À la vie, à la mort.
Sans nostalgie. Simplement vivante.
Arrêter de courir, de revendiquer, de s'inquiéter.
Aimer tout court. Aimer l'amour, tout le jour.
Ici sans être ailleurs. Maintenant, sans avoir peur.
Le coeur qui gonfle. Gonfle le bonheur.
20 ans. Encore. À la vie, à la mort.
Sans nostalgie. Simplement vivante.
mercredi 9 mars 2011
Quand j'ai moins le goût que mon gars joue au hockey.
Je ne reviendrai pas sur les faits entourant le geste Ô combien violent de Chara hier. J'ai tourné la tête à chaque fois que l'image où la tête de Pacioretty arrivait en contact avec le repli de la baie vitrée. Je suis une mère de joueur de hockey et je ne peux que penser à la mère et au père de ce joueur de talent qui soit dit en passant étaient présents au Centre Bell hier soir. Mon coeur se serre. Je me serais probablement mise à hurler de douleur dans le silence du Centre Bell qui a suivi le geste crapuleux.
Je veux simplement dire que Chara n'a pas d'excuse pour son geste. Il ne peut même pas essayer de dire que ce n'était pas intentionnel. Je suis, sur ce point, de l'avis du chroniqueur Yves Boisvert. http://blogues.cyberpresse.ca/boisvert/2011/03/08/chara-que-la-justice-sen-mele/
Quand je vois des scènes comme celle-là, j'ai mal à mon hockey. J'adore mon sport, c'est une grande passion... Le Canadien, Guy Lafleur, mon p'tit cul qui le joue depuis qu'il est haut comme 3 pommes (ok, il n'a jamais été petit comme trois pommes , mais ça c'est une autre histoire!) et qui gagne maintenant sa vie en jouant au hockey. Je suis enrageée de voir que les dirigeants de la Ligue n'ont pas assez de couilles - dans ce sport où justement on dit en avoir besoin et que ces dites couilles doivent en plus être bien remplies de testostérone - n'ont pas assez de couilles disais-je, pour punir de façon exemplaire ce con de Chara. Dieu qu'il avait l'air épais quand il essayait de débattre son point de vue avec l'arbitre après son coup vicieux. J'aurais pu croire à son innocence si je l'avais vu, se jetter par terre d'inquiétude près de Paciorrett losrsque ce dernier s'est effondré. Aujourd'hui, il recevra sa punition des instances de la LNH... Malheureusement, je ne m'attends à rien et je me demande de plus en plus comment je vais faire pour continuer à ressentir de la joie quand je regarde mon sport.
La ligue n'a pas le choix de sévir et fortement... Sinon elle va perdre des joueurs... sur la glace... et dans les estrades.
Je veux simplement dire que Chara n'a pas d'excuse pour son geste. Il ne peut même pas essayer de dire que ce n'était pas intentionnel. Je suis, sur ce point, de l'avis du chroniqueur Yves Boisvert. http://blogues.cyberpresse.ca/boisvert/2011/03/08/chara-que-la-justice-sen-mele/
Quand je vois des scènes comme celle-là, j'ai mal à mon hockey. J'adore mon sport, c'est une grande passion... Le Canadien, Guy Lafleur, mon p'tit cul qui le joue depuis qu'il est haut comme 3 pommes (ok, il n'a jamais été petit comme trois pommes , mais ça c'est une autre histoire!) et qui gagne maintenant sa vie en jouant au hockey. Je suis enrageée de voir que les dirigeants de la Ligue n'ont pas assez de couilles - dans ce sport où justement on dit en avoir besoin et que ces dites couilles doivent en plus être bien remplies de testostérone - n'ont pas assez de couilles disais-je, pour punir de façon exemplaire ce con de Chara. Dieu qu'il avait l'air épais quand il essayait de débattre son point de vue avec l'arbitre après son coup vicieux. J'aurais pu croire à son innocence si je l'avais vu, se jetter par terre d'inquiétude près de Paciorrett losrsque ce dernier s'est effondré. Aujourd'hui, il recevra sa punition des instances de la LNH... Malheureusement, je ne m'attends à rien et je me demande de plus en plus comment je vais faire pour continuer à ressentir de la joie quand je regarde mon sport.
La ligue n'a pas le choix de sévir et fortement... Sinon elle va perdre des joueurs... sur la glace... et dans les estrades.
lundi 7 mars 2011
Tempête...
Pont de l'Île-aux-Tourtes
... Juste pour vous dire que l'année dernière, mon amoureux nettoyait ses bâtons de golf à pareille date ET que sa première partie s'est jouée le 15 MARS... oui, oui, le 15 MARS à Vaudreuil-Dorion - c'était le seul terrain ouvert dans la région, mais quand même!
Hier, il m'a dit 15 fois - j'ai arrêté de compter après - qu'il avait hâte de jouer au golf.
Tempête oblige, nous travaillons tous les deux de la maison aujourd'hui. Je sens que la journée va être longue...
:)))
dimanche 6 mars 2011
Une belle nouvelle
Mardi je quitte pour Toronto!!!
Mon grand joue à Toronto et Hamilton... Ça sera un petit voyage entre filles, mon amoureux est retenu à cause du travail. J'ai une merveilleuse patronne qui comprend que voir son grand garçon après 6 mois d'absence est plus que nécessaire...
Je vous en donne des nouvelles!
Mon grand joue à Toronto et Hamilton... Ça sera un petit voyage entre filles, mon amoureux est retenu à cause du travail. J'ai une merveilleuse patronne qui comprend que voir son grand garçon après 6 mois d'absence est plus que nécessaire...
Je vous en donne des nouvelles!
je suis vivante...
la vie est folle... Heureuse, mais folle....
je pense à vous à tous les jours... Le temps d'écrire me manque...
Je vous reviens bientôt.
je pense à vous à tous les jours... Le temps d'écrire me manque...
Je vous reviens bientôt.
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