dimanche 31 juillet 2011

Comment ça fin de juillet?

C'est la panique ce matin. Je lis ce commentaire de mon frère sur Facebook : Quelle belle nuit pour finir ce juillet si humide? Mais de quoi il parle lui avec sa fin de juillet? Ça me prend quelques secondes pour absorber la réalité. Et puis bang! En plein visage que je l'ai reçu.

C'est dire à quel point mon retour de voyage, donc au quotidien, a été assez fou merci. Je n'ai rien vu passer du mois... Rien. Nada.

Alors je dis WO! Je n'aime pas la vie qui passe sans que je puisse la voir, qui s'envole sans que j'en garde le souvenir, ne serait-ce qu’un souvenir vague. Là? Rien. Ma tête est un gros brouillon humide! Tiens, j'ai peut-être retenu que le mois avait été humide... Mais ce n'est pas suffisant. J'en veux plus pour mon temps.

Pour certains, les jours qui s'éternisent sont une plaie. Les gens seuls, malades, malheureux aimeraient bien voir le temps filer pour passer à autre chose. Quoi? N'importe quoi pour se sortir du moment où ils sont.

Mais moi, je veux que le temps prenne son temps. Qu'il se complaise dans le présent. Qu'il se regarde passer sans se préoccuper de là où il sera dans l'instant qui suit.

J'aime l'intensité, j'aime que ça bouge. Je sais que le temps est compté, qu'il nous est donné pour tirer le maximum de chaque minute qui passe.

Alors, me réveiller fin juillet sans l'avoir vu, je ne suis pas impressionnée. On va remettre les pendules à l'heure.

dimanche 3 juillet 2011

De retour...

... d'un voyage en famille en République Dominicaine... On prend une grande respiration et on replonge dans le quotidien.

Plouf!