mardi 31 août 2010

Maudit que ça va vite!

Il me semble qu'on est au début de l'été... Et ça n'a rien à voir avec la canicule! Le temps va tellement vite. J'ai beau être dans le moment présent, j'ai beau ouvrir grande les oreilles et les yeux, me semble qu'hier, c'était le début du mois de mai... Le début de la belle saison!

Et demain je vais me réveiller et on va être le 1er septembre! De quessé?

Je suis un peu frue (ça doit prendre un e au féminin!)... plein de chose à vous raconter, pas le temps de m'étendre sur quoi que ce soit...

On reconnecte plus tard!

samedi 28 août 2010

Le grand garçon quitte aujourd'hui...

On finit par s'habituer à ses départs prolongés.

J'ai de la gratitude dans le coeur... il s'en va jouer au hockey, pas en Afghanistan...

Go Rock'em !

Bonne saison mon amour!

samedi 21 août 2010

Saoule d'écriture... Hic!

Se saouler dans l'écriture... Quelle belle activité! Aucun risque de cholestérol, de crise de foie, mais attention le danger d'accoutumance est très élevé!


On reconnecte plus tard!

Hic!

;)

jeudi 19 août 2010

La cucina!


Et voilà! Retouche de peinture, luminaires, ajout de pare-fenêtre et nous passons à un autre projet.




Et nous qui avons cru que ça serait plus sombre! La cuisine paraît deux fois plus grande!

Vivement les retrouvailles autour d'un bon repas!

On reconnecte plus tard... je m'en vais me saouler dans l'écriture!

Bonne journée tout le monde!

vendredi 13 août 2010

Un an déjà - RIP La mamma



C’est drôle... La maudite chanson déchirante que j’ai dans la tête depuis deux jours est exactement la même qu’il y a un an. La seule différence est que je ne sanglote plus, c’est plus calme, les larmes se bousculent moins à la sortie...

Aujourd'hui, c’est maman que je vois quand le grand Charles chantait La mamma. Quelle extraordinaire dramaturge elle était notre mamma... On aurait pu croire facilement qu'Aznavour avait écrit la chanson pour elle et qu'il lui avait dit en secret.

Ce matin, je suis habitée de mélancolie. Pas de la grande tristesse, juste une douce mélancolie... Parce qu’hier, j’ai jasé avec quelqu’un, une jeune femme de 34 ans, belle comme un coeur. Au cours de la dernière année, elle a perdu dans l’ordre, son grand-père, sa grand-mère, sa mère et dernièrement son père, son plus grand fan. C’est une ancienne athlète. Il venait encore la voir dernièrement à toutes ses parties de balle-molle. Elle lançait pour son équipe, son père était son coach. Depuis qu’il est décédé, elle n’est plus capable de lancer. Quand je lui ai parlé hier, je lui ai dit que si elle ne se bottait pas le derrière au plus vite pour faire son premier lancer, c’est son père qui allait s’en mêler. Ça l’a fait beaucoup rire et du coup elle a découvert une autre perspective possible, elle va le faire pour lui... Pour éviter qu’il revienne lui botter le ... J’ai hâte de voir si ça va l’aider pour la prochaine partie.

Tout ceci pour dire qu’hier soir, au retour à la maison, je n’ai pu que remercier la vie qui, malgré l’âge avancé de mes parents à ma naissance, m’a laissé profiter de la présence de l’un d’eux jusqu’à l’âge de 48 ans... Je me suis trouvée chanceuse...


Y'a tant d'amour, de souvenirs
Autour de toi, toi la mamma
Y'a tant de larmes et de sourires
A travers toi, toi la mamma
Que jamais, jamais, jamais
Tu nous quitteras …

Allez le voir le grand Charles en 2000, live in concert!!! Du bonbon...


http://www.youtube.com/watch?v=rU0wYcO2Pdk&feature=related


LA MAMMA – Charles Aznavour
Ils sont venus
Ils sont tous là
Dès qu'ils ont entendu ce cri
Elle va mourir, la mamma
Ils sont venus
Ils sont tous là
Même ceux du sud de l'Italie
Y'a même Georgio, le fils maudit
Avec des présents pleins les bras
Tous les enfants jouent en silence
Autour du lit ou sur le carreau
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance
C'est un peu leurs derniers cadeaux
A la mamma

On la réchauffe de baisers
On lui remonte ses oreillers
Elle va mourir, la mamma
Sainte Marie pleine de grâces
Dont la statue est sur la place
Bien sûr vous lui tendez les bras
En lui chantant AveMaria
Ave Maria
Y'a tant d'amour, de souvenirs
Autour de toi, toi la mamma
Y'a tant de larmes et de sourires
A travers toi, toi la mamma

Et tous les hommes ont eu si chaud
Sur les chemins de grand soleil
Elle va mouri, la mamma
Qu'ils boivent frais le vin nouveau
Le bon vin de la bonne treille
Tandis que s'entrassent pêle-mêle
Sur les bancs, foulards et chapeaux
C'est drôle on ne se sent pas triste
Près du grand lit et de l'affection
Y'a même un oncle guitariste
Qui joue en faisant attention
A la mamma

Et les femmes se souvenant
Des chansons tristes des veillées
Elle va mourir, la mamma
Tout doucement, les yeux fermés
Chantent comme on berce un enfant
Après une bonne journée
Pour qu'il sourie en s'endormant
Ave Maria
Y'a tant d'amour, de souvenirs
Autour de toi, toi la mamma
Y'a tant de larmes et de sourires
A travers toi, toi la mamma
Que jamais, jamais, jamais
Tu nous quitteras …

mardi 10 août 2010

Avancement des travaux!

Jour J... le matin avant l'arrivée de mes hommes.

Stade 2... avant de contruire, il faut démolir.
Et au lieu de jeter, pourquoi pas recycler... dans la salle de lavage!


On reconnecte plus tard...

dimanche 8 août 2010

3-2-1! prêt pas prêt...

Les rénos c'est pour demain.... ma cuisine est tellement propre que j'ai envie de tout annuler!

Blague à part, j'ai bien hâte de voir ce que ça donnera!

On se reconnecte plus tard!

Bonne semaine!

lundi 2 août 2010

Le ciel gronde

Quand j'étais petite, j'étais terrorisée par les orages. Je me suis réfugiée dans le lit de mes parents jusqu'à très tard dans ma vie — non vous ne saurez pas l'âge exact.

Aujourd'hui, outre quand ça nous pète vraiment dans la figue, j'aime bien quand le ciel se déchaîne. Quand on s'amuse à compter les secondes entre les éclairs et le bruit du tonnerre.

Je me rappelle quand j'ai eu ma garderie, j'en faisais une fête avec les enfants. Je ne pouvais pas tolérer que mes petits choux et mes choupettes aient peur de quelque chose d'aussi naturel. Alors j'ai inventé toute sorte de niaiserie. C'était quelqu'un dans les nuages qui jouait aux quilles ou du tambour. Et bien sûr, on pouvait compter avant que le bruit arrive. Et on criait pour s'amuser, pas pour s'énerver. J'ai gagné les peureux et les peureuses tour à tour. On se plantait tous devant la porte-fenêtre et on guettait les éclairs et là on comptait fort jusqu'à ce que ça fasse bedang! et on se roulait par terre pour rire... oui, oui, moi aussi.

J'ai gardé un contact avec la majorité des enfants qui sont venus chez moi. Merci à Facebook pour ça. On rit encore de nos niaiseries... faudrait bien que je leur parle des orages pour voir s'ils s'en souviennent...

Je vous écris alors que ça brasse assez fort dehors. Le dernier coup a fait trembler le sol... Ce n'est pas tomber très loin c'est garanti. Je n'ai même pas eu le temps de compter. Je suis chanceuse, là où je demeure, nous sommes comme dans un vallon et souvent la nature s'éclate dans ma cour...