Parlant de jouer avec les mots, je partage avec vous le titre d'un livre que m'a donné une amie à moi pour ma fête... un pur délice... Une journée sans moi de Raymond Devos. Disons que jouer avec les mots et les idées le monsieur sait comment faire! Ouf! C'est génial! J'aimerais pouvoir écrire avec autant de brio!
Allez! Bon samedi soir!
Canadiens - Sénateurs. Woohoo!
On reconnecte plus tard!
Une journée sans moi, quel titre génial! Oh que ça me ferait du bien de passer une journée sans moi!
RépondreEffacerPendant que j'écris j'écoute un documentaire à Télé-Québec à propos des lions blancs, extrêmement rares, et pourtant victimes de chasseurs les tuant sans pitié, dès qu'ils mettent une patte hors de la minuscule réserve où on tente de les remettre en liberté. L'espèce humaine est souvent révoltante!
Pour en revenir à ton billet, si un jour j'écrivais un livre ce serait de la science-fiction, à propos de vacances proposant de transmiger dans le corps d'une autre personne; dépaysement garanti!!!
Wow! Quelle bonne idée de départ! Allez, qu'est-ce que tu attends?
RépondreEffacerTalou,
RépondreEffacerje n'ai suivi aucun cours de création littéraire, n'ai jamais mis les pieds (à mon grand regret) dans une Université, n'ai jamais fait d'études suppérieures. Autrement dit, selon les critères de notre société je suis ce qu'on appelle une ignare. Ce que je connais je l'ai étudié à travers les livres, par moi-même; je suis une autodidacte, mot honni par les érudits et diplômés de ce monde.
Sans oublier que le monde de l'édition est cruel; beaucoup d'appelés, peu d'élus. Et il faut avoir des contacts; on ne m'enlèvera pas de l'idée que des chefs-d'oeuvres inconnus dorment au fond de tiroirs, ne seront jamais publiés, tandis que certains auteurs, qui eux devraient se retrouver dans ledit tiroir sont au sommet des listes de ventes. C'est une question de mode je crois, pour parler poliment.
Alors ...
Merci TaLou, t'es fine, comme ton gramd frère d'ailleurs!
Lise ♥
Tout ce que tu dis est vrai. C'est vrai pour l'écriture, c'est vrai pour la politique, et ô combien en avons nous la preuve actuellement. C'est vrai pour les jobs normales aussi, qui n'a pas vu un crétin obtenir une promotion alors que celui ou celle qualifié n'obtient. C'est vrai pour tout dans la vie. Dans tout ça, tu as oublié l'essentiel : on écrit pour soit. En fait, on fait les choses d'abord et avant tout pour soit, sinon, c'est faire pour faire. Et l'acte sera éphémère.
RépondreEffacerÉcrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas, il n'est qu'écriture. Jean Cocteau
Tu as raison Talou; il faut écrire pour soi-même, et j'aime l'écriture mais n'ai pas de réel talent pour ça, préférant de beaucoup lire les autres. En passant j'ai fait une recherche à propos de Raymond Devos, que je confonds sans cesse avec Coluche, sans doute parce qu'ils se ressemblent physiquement. Ça m'intéresse ce livre, et j'ai bien hâte que tu nous parles de ce projet qui semble vraiment t'amener dans une autre dimension.
RépondreEffacer:-)
Et ne t'en fais pas avec mes histoires; ça finit toujours par se replacer dans ma tête. Je suis très capable de voir les petits bonheurs quotidiens, je les note même et ça fait une belle somme après une semaine.
J'espère que ton équipe de hockey a gagné...
Je ne doute pas que ça se «replace dans ta tête». Mais les vérités de La Palice, ils faut souvent se les rappeler. On a tendance à les oublier, tu ne trouves pas?
RépondreEffacerSi on se les rappelait, une après l'autre, jour après jour, on serait pas mal plus heureux et libre j'en suis convaincue!
Allez! Bonne journée!
Mes équipes ont perdues... Mon gars et les Habs! Mais mon gars ne jouait pas alors tant pis pour son équipe!
RépondreEffacer:)))
Sur le site de Renaud-Bray on dit que le livre est épuisé, mais il est disponible à la bibliothèque , ainsi que deux autres titres (Rêvons de mots, Sans titre de noblesse) qui semblent fort intéressants.
RépondreEffacerMerci Talou, tu m'as fait découvrir un nouvel auteur!
♥